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INTRODUCTION À L'ERGONOMIE
Diapos sur le dossier en préparation, à venir.                                 Diapos du document     vers la page des diapos ( en cours de remplissage)

Diapos complètes sur site le mardi11/08/2003


Navigation guide order picking  :  sur site 25/03/2005 guidecueillettemanuelledordre- fr

 

Document annexe: Evaluation ergonomique des chariots (Anglais, sorry !) 16/06/2003

Les normes en manutention manuelle des charges, Risques, postures à observer, prévention et normes directrices. sur site le 23/07/2003 

Exemple de Flayer: Prévention dans la manutention de l'essence

..\manutention\documents_equamanutman_charges\manutentionessenceprevent.pdf

 

manutention_manuelle_descharges_equat_vers_francaise Traduction et liens, signets en cours. 19/01/2004

 

....théorique et bibliographique, ce document vise à fournir aux fonctionnels de la prévention, des repères méthodologiques ainsi que des concepts clés, contribuant à l'intégration de la prévention dans les projets de conception des situations de travail.....

ergonomie_introduction/nd2127-ergo-prevent-situ-concept-trav.pdf

 

Organisation Internationale du Travail diffuse: "Votre santé et votre sécurité au travail ERGONOMIE"      ergonomie_introduction/ergonomie-oit_fr_osh_ergo_ergonomi.pdf 

ergonomie_introduction/manual_handling_cop.pdf Une documentation anglophone : "Bonnes pratiques en manutention manuelle"

 

L'ergonomie, une définition

Le terme ergonomie a été proposé en 1949 par le psychologue Murrel. Les racines grecques ergon (travail) et nomos (règles) composent le mot. L'Organisation Internationale du Travail définit l'ergonomie comme : « l'application conjointe de certaines sciences biologiques et des sciences de l'ingénieur pour assurer entre l'homme et le travail, l'optimum d'adaptation mutuelle afin d'accroître le rendement du travailleur et de contribuer à son bien-être ».

Un des pionniers dans le domaine, Étienne Grandjean (1988) définit l'ergonomie comme étant l'étude du comportement de l'homme dans son travail. Il devient nécessaire d'adapter la tâche à l'homme pour que l'environnement soit propice à la productivité sans que celui-ci subisse certaines lésions attribuables au travail.

Selon les pays, l'ergonomie a connu une évolution différente. En Amérique du Nord, l'accent a été davantage mis sur l'étude des facteurs humains et de l'adaptation des postes de travail aux caractéristiques humaines. Tandis qu'en Europe, l'ergonomie a développé le concept d'analyse de l'activité réelle de travail et de son amélioration (Sanders & McCormick, 1993)

Adapter la tâche à l'homme

L'ergonomie est une science interdisciplinaire, ses théories s'inspirent de la physiologie humaine, de l'anatomie fonctionnelle, de la psychologie, de la biomécanique du mouvement et de certains aspects de l'ingénierie.

On ne peut pas juger l'ergonomie en tant que science bonne ou mauvaise, la difficulté essentielle résidant dans son application. Jusqu'à présent, l'ergonomie est utilisée davantage comme moyen d'accroître le rendement et la productivité.

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OBJECTIFS DE L'ERGONOMIE

Quatre objectifs définissent précisément la recherche ergonomique (Grandjean, 1988):

Ajuster les exigences du travail aux possibilités de l'homme afin de réduire les contraintes.
Concevoir les machines, les équipements et les installations en vue d'un maximum d'efficacité, de précision et de sécurité.
Étudier soigneusement la configuration des postes de travail et les conditions de travail afin d'assurer au travailleur une posture correcte.
Adapter l'environnement (éclairage, air conditionné, bruit, etc.) aux besoins physiques de l'homme.

 

Les problèmes soulevés par l'ergonomie ne sont pas nouveaux : l'homme a de tout temps cherché à alléger les efforts imposés par le travail. Les outils d'hier sont devenus de nos jours des machines, des équipements électroniques, des ordinateurs, des laboratoires, des lignes de production. Notre système musculo-squelettique répond difficilement à cette adaptation de travail. Par exemple, le travail assis représente en moyenne sept heures dans une journée chez le travailleur Nord-Américain. Notre système musculo-squelettique n'est malheureusement pas conçu pour passer autant de temps dans cette position statique. Le fait de reconnaître certains paramètres d'angulations propices à une bonne posture assise de longue durée pourra entre autre contribuer à prévenir certains déséquilibres physiques (particulièrement les maux de dos au niveau de la région lombaire) associés aux maladies occasionnées par le travail sédentaire et statique.

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ACTIVITÉ TRAVAIL ET DÉMARCHE ERGONOMIQUE

Selon Patry (1993) la fonction de l'ergonome est de déceler, dans le travail et ses conditions d'exécution, ce qui peut provoquer des accidents, des atteintes à la santé, des limites au développement des capacités des travailleurs : l'identification de ces éléments critiques du travail doit permettre de trouver des solutions au niveau du travail et de ses conditions d'exécution. L'analyse de l'activité du travailleur en situation de travail devient essentielle. Les questions que doit se poser l'ergonome sont :

  1. Où est la douleur? Profil de malaise (gêne, embarras).
  2. Quel(s) muscle(s) se trouve(nt) à cet endroit?
  3. Quel travail (i.e. quel mouvement) fait ce muscle? ex.: posture statique prolongée, Abduction du bras, Flexion du tronc
  4. Pourquoi le muscle fait-il ce travail? (Individu, Travail, Conditions d'opération)
  5. Quelles sont les fonctions physiologiques et psychologiques qu'il met en jeu?
  6. Quelles sont les caractéristiques du travail et les conditions de travail qui l'obligent à procéder ainsi ?

L'ergonome ne doit pas porter un jugement d'expert (le travailleur devrait faire ainsi, il devrait respecter telle consigne, utiliser cet outil de telle manière) mais tenter de comprendre les facteurs critiques et les déterminants de son activité réelle.

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POSTURES ET TRAVAIL MUSCULAIRE

Les postures sont constituées par l'organisation dans l'espace des différents segments corporels qui permettent à un individu de se situer et d'agir. Plusieurs variables entrent en jeu lorsque vient le temps d'analyser une posture prise dans l'activité de travail. Les caractéristiques personnelles (l'expérience de travail, la condition physique, l'âge, le sexe, les mensurations anthropométriques), les conditions de travail (le type d'effort, l'activité de travail, les outils utilisés) les contraintes environnementales et les exigences de production jouent un rôle déterminant sur les postures adoptées par les travailleurs (figure 10.1). La posture ainsi prise constitue souvent un compromis entre ces différentes variables.

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Figure 10.1 Facteurs déterminant la posture dans l'activité de travail
(source: Laboratoire de physiologie du travail et d'ergonomie du Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris, France)
EFFORT MUSCULAIRE STATIQUE OU DYNAMIQUE

Effort musculaire statique

L'effort statique est caractérisé par un état prolongé de contraction des muscles qui s'applique habituellement au maintien d'une posture. Dans la vie quotidienne, nos muscles effectuent constamment des efforts statiques. Ainsi, dans la position debout, toute une série de groupe de muscles des jambes, des hanches, du dos et du cou restent contractés de longs moments. C'est grâce à ces efforts statiques que nous pouvons maintenir certaines parties de notre corps dans la posture voulue. Dans la posture assise, l'effort statique des jambes est soulagé et la tension musculaire totale du corps est réduite, cependant cette position assise augmente la pression discale de 40% par rapport à la position debout (diapositive 6-21). L'effort statique étant beaucoup plus pénible que l'effort dynamique, la composante statique exige un effort musculaire plus important.

Nous nous devons d'éliminer, de nos jours, les positions statiques maintenues trop longtemps. L'effort musculaire statique entraîne une sensation de fatigue pénible dans les muscles sollicités. Si les positions statiques sont répétées quotidiennement sur une longue période, une détérioration des articulations, des ligaments et des tendons peuvent se manifester chez l'« homo sedens ». D'après de nombreuses observations ergonomiques, une charge de travail statique accrue entraîne une recrudescence de :

  1. l'inflammation des articulations,
  2. l'inflammation des gaines des tendons,
  3. l'inflammation des points d'attache des tendons,
  4. des symptômes de dégénérescence chronique des articulations sous forme d'arthrite,
  5. des troubles au niveau du disque.

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Le tableau 10.1 répertorie des troubles liés à certaines formes de travail statiques pour la région lombaire.

Tableau 10.1  Douleurs corporelles au dos causées par des efforts statiques

Posture de travail Parties du corps affectées Cartes de la douleur
Buste penché en avant en position assise Région lombaire: détérioration des disques intervertébraux Musculaire, discale
Assis, le buste droit (90°), sans dossier ou avec dossier mais sans l'utiliser Muscles extenseurs du dos Musculaire
Assis, les genoux plus bas que les hanches Pressions discales lombaires dû à un dos en cyphose Discale
Position debout, genoux droits, dos fléchi Augmentation remarquable de la pressions sur les disques intervertébraux Discale

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Effort musculaire dynamique

L'effort dynamique caractérisé par une alternance rythmique de contractions et d'extensions, de tension et de relâchement, est sans contredit, l'effort musculaire le plus adéquat pour l'humain. Dans une situation dynamique, l'effort s'exprime par le raccourcissement du muscle et par la puissance visible développée. Le muscle, dans un effort dynamique, se comporte comme une pompe dans le système sanguin. L'alimentation sanguine devient rapidement supérieure à la normale. Le muscle peut ainsi retenir le sucre et l'oxygène fournisseurs d'énergie. L'activité physique modérée devient donc un facteur important de protection dans notre mode de vie sédentaire.

 

Dans la position statique, les déchets ne sont pas évacués, ils s'accumulent et provoquent douleur et fatigue, d'où la nécessité de varier ses postures ou positions pendant la journée. Nous ne sommes vraiment pas fait pour rester assis de longues heures à rentrer des données informatiques (figure 10.2).


Figure 10.2

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MANUTENTION ET MAUX DE DOS

Une activité consistant à lever, manipuler ou traîner des charges, implique de gros efforts dynamiques et peut être classée dans les travaux pénibles. Le problème essentiel ne vient pas des efforts importants imposés aux muscles, mais d'un phénomène beaucoup plus grave : l'usure et la détérioration des disques intervertébraux, s'accompagnant de risques accrus de troubles fonctionnels du dos.

Dans le cas du soulevé d'une charge, si le dos est courbé, il se produit une augmentation brutale de la pression à l'intérieur des disques (diapo 6-17), ce qui amène vite une surcharge pour l'anneau fibreux situé entre les vertèbres. De plus, lorsque le dos est courbé et que la colonne vertébrale s'arrondit au niveau des vertèbres lombaires, les charges imposées aux disques sont très importantes et asymétriques, c'est-à dire beaucoup plus importante sur l'avant du disque que sur l'arrière (figure 10.3). Les charges résultantes sont alors très nuisibles et constituent un élément important dans la détérioration du disque. Le dos rond entraîne une pression plus élevée sur le bord avant des disques, ce qui peut engendrer une augmentation du risque de rupture. Tandis que le dos droit, permet une bonne répartition de la pression sur la totalité du disque, réduisant par le fait même les risques d'usure et de dégradation de l'anneau (Grandjean, 1988; Pheasant, 1990)


Figure 10.3
Répartition de la pression sur les disques intervertébraux pendant la levée d'une charge. Dos courbé à gauche et dos droit à droite.
SOULEVER DES CHARGES

Des règles bien précises sont fondées sur certaines connaissances scientifiques et pratiques. L'école interactionnelle du dos préconise huit commandements pour soulever des charges tout en évitant un risque de surcharge (figure 10.4).

 

Figure 10.4 Identifications des huit commandements pour éviter la surcharge

  1. Le corps doit se trouver le plus près possible de la charge (bon encadrement)
  2. Corps droit avec une base solide (largeur des pieds plus grande que largeur des épaules)
  3. Empoigner la charge de telle façon que l'on puisse la déplacer en laissant le dos droit.
  4. Bassin verrouillé (contracter les muscles stabilisateurs du bassins, abdominaux et dorsaux)
  5. Les genoux légèrement fléchis
  6. Bras tendus
  7. Le dos droit, disques bien placés
  8. Bonne respiration, oxygénation des muscles fournissant l'effort.

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Les Suédois Nachemson et Anderson ont réalisé une étude très complète sur les effets des différentes postures et du maniement des charges, sur la pression à l'intérieur des disques intervertébraux. Courber le dos en gardant les jambes tendues impose une tension plus grande aux disques de la région lombaire que plier les jambes en gardant le dos droit. (figure 10.5)


Figure 10.5 Posture et pression discale
Influence de la posture sur la pression exercée sur le disque séparant la 3e et la 4e vertèbre lombaire, pendant une levée de poids

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ANALYSE DES CONTRAINTES

Postures assises

Il existe certains avantages d'être assis lors d'un travail. Les jambes supportent moins le poids du corps, les mauvaises postures semblent plus rares, la consommation d'énergie est réduite et le système sanguin est moins sollicité. La position statique assise permet d'être moins fatigué que la position debout statique (effort musculaire moins grand pour maintenir l'individu assis statique que debout statique).

Cependant, la position assise prolongée entraîne des inconvénients. Le relâchement des muscles abdominaux protecteurs et indispensables dans le verrouillage du bassin en sont un exemple. Une déviation de la colonne vertébrale (dos rond) altère le fonctionnement des systèmes digestif et respiratoire. De plus, dans un grand nombre de postures assises, les muscles du dos semblent trop souvent contractés (voir carte musculaire).

Les travailleurs assis placent souvent leurs dos en position arrondie (cyphose, figure10. 6). La posture ainsi adoptée implique souvent une cyphose dorsale pour 36% des gens assis ou une cyphose dorsale et lombaire pour 54% de ceux-ci. Suite à l'analyse de comportements posturaux de certains travailleurs assis (Grandjean, 1988 ; McCormick et Sanders, 1993 ; Côté, 1997), la tendance favorise une posture en cyphose due au glissement de leur corps vers l'avant. Cette posture ainsi prise sur de longue période peut contribuer à de sérieux malaises au bas du dos de l'individu. La cyphose lombaire est donc à éviter. Elle augmente, par un effet de barre à clou, la pression à l'intérieur des disques. Cette posture crée également des désordres anatomiques importants pour celui ou celle qui conduit ou est assis à écrire ou à dactylographier. La cyphose lombaire semble davantage relié à ceux qui ont mal dans le bas du dos. Elle crée aussi une contrainte musculo-squelettique sur le tronc du travailleur. Cette posture entraîne une fatigue des muscles lombaires et paraspinaux. De plus, cette mauvaise posture implique un mode de chargement asymétrique des disques intervertébraux.

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Figure 10.6 Bascule du bassin lors du passage de la position debout à la position assise
S'asseoir implique un basculement du bassin (indiqué par une flèche), le sacrum se redresse, la colonne vertébrale n'est plus en position de lordose mais en cyphose

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Certains chercheurs en ergonomie du travail (Andersen & Ortengren, 1967 ; Nachemson, 1974 ; Yamaguchi, Umezawa & Jshinada, 1972) se sont penchés sur les effets de l'inclinaison et de la forme du dossier des sièges sur la pression à l'intérieur des disques. Ils ont déterminé l' influence importante de l'inclinaison du dossier par rapport à l'assise du siège sur la pression discale dans les muscles du dos (figure 7). Aucune position assise maintenue longtemps n'est bonne. Cependant, il existe des angles d'inclinaison du dossier par rapport à l'assise où la pression discale est moindre. À cet effet, une ouverture supérieure à 90°, i.e. 95° à 115° permet de réduire les pressions discales. Les sujets doivent prendre le temps de bien s'appuyer sur leur dossier.


Figure 10.7

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Influence de l'inclinaison du dossier par rapport à l'assise du siège sur la pression discale (L3-L4)(p.73, Grandjean

Tableau 10.2  Résume des principales données ergonomiques à respecter en position assise

Angle du dossier par rapport à l'assise 95° à 115°
Inclinaison possible de l'assise vers l'arrière 3° à 12°
Angle de l'appui-tête favorable à une flexion du cou 5° à 20°

Sept principes de base pour favoriser une bonne posture (Corlett, 1978; Pheasant 1986).

  1. Évitez le plus possible, l'inclinaison de la tête et du cou.
  2. Évitez le plus possible l'inclinaison du tronc.
  3. Évitez l'utilisation des membres supérieurs dans certaines actions où les membres inférieurs peuvent être utilisés. Ex. soulever un malade pour l'asseoir.
  4. Évitez les positions asymétriques et les positions de torsion (twisted positions).
  5. Lors d'efforts musculaires, placez les articulations au tiers ou à la moitié de leur mouvement de flexion.
  6. Prendre des mesures pour garder le dos le plus au repos possible
  7. Respectez les forces musculaires de chaque individu.

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PLAN


L'étape consacrée au terrain complète l'intervention thérapeutique entreprise à la rencontre précédente. Pour confronter leurs peurs du mouvement, les clients sont amenés à réaliser la solidité de l'assemblage vertébral. Une solidité qui, toutefois, n'autorise pas toutes les excentricités posturales ou bio-mécaniques. Cette leçon en précise les limites. Certaines contraintes prévisibles occasionnent en effet des blessures graves au disque (284). Des postures spécifiques entraînent inévitablement des douleurs musculaires bien localisées (231). En fonction de la nature de la tâche de travail, ces contraintes affecteront différemment les intéressés (285). Pour aider le lombalgique à devenir de plus en plus capable de composer avec ses maux de dos, le praticien l'amène à faire des liens entre douleur lombaire et mouvements ou postures dans le quotidien (tableau 10.1).

Tableau 10.1  Douleurs corporelles au dos causées par des efforts statiques

Posture de travail Parties du corps affectées Cartes de la douleur
Buste penché en avant en position assise Région lombaire: détérioration des disques intervertébraux Musculaire, discale
Assis, le buste droit (90°), sans dossier ou avec dossier mais sans l'utiliser Muscles extenseurs du dos Musculaire
Assis, les genoux plus bas que les hanches Pressions discales lombaires dû à un dos en cyphose Discale
Position debout, genoux droits, dos fléchi Augmentation remarquable de la pressions sur les disques intervertébraux Discale

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21.05.2009 12:01:48

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