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- La sécurité de l’entrepôt                 LES SPRINKLEURS
• implanter ce local en simple rez-de-chaussée
• mettre en place une couverture légère, susceptible de se soulever en cas d’explosion
• choisir des portes coupe-feu une heure commandées par des détecteurs autonomes sensibles aux gaz et aux fumées
• ventiler largement le local avec évacuation par la partie supérieure et de préférence en utilisant une ventilation mécanique. Le renouvellement de l’air est défini par la formule:
Volume d’air renouvelé par heure = 0,05 N9m dans laquelle N est le nombre d’éléments de batteries chargés simultanément et 1m l’intensité maximale de charge définie par la norme NEC 58 311.
• comme indiqué précédemment prévoir un sol étanche, revêtu d’une peinture anti-acide, avec une pente suffisante pour éviter toute stagnation des liquides
• dimensionner le bac de rétention à la plus grande des deux valeurs suivantes 100% de la capacité de la plus grosse batterie ou 50% de la capacité globale de toutes les batteries susceptibles de se trouver dans ce local simultanément
• faire remonter la protection de peinture anti-acide sur les murs jusqu’à une hauteur d’au moins 40 centimètres ou mieux 1,20 mètre
• veiller à ce que l’installation électrique soit conforme à l’arrêté ministériel du 31 mars 1980, avec éclairage de sécurité et coupure des circuits (commutateurs, disjoncteurs, etc.) étanche avec du matériel anti-déflagrant
• équiper ce local d’extincteurs à C02 ou à poudre ainsi que de bacs à sable avec pelle.
Comme cela a été évoqué précédemment ces contraintes sont incontournables dans le cas d’utilisation de batteries dites ouvertes. Elles peuvent être négociées auprès des autorités compétentes, de préférence au moment de la conception, dans le cas d’utilisation de batteries au gel ou à régénération.


15. LES SPRINKLEURS
Les installations sprinkleur sont devenues au fil des ans de plus en plus complexes à cause, notamment de la multiplicité des variantes disponibles. De plus, par leur fonction, elles doivent être d’une indiscutable fiabilité. Ceci implique que l’étude définitive ne pourra être effectuée que par des spécialistes avertis en accord avec les services techniques de l’assuré. Les lignes qui suivent n’ont d’autres ambitions que de présenter quelques généralités.
15.1 Définition et principes
Les installations sprinkleur sont des installations automatiques destinées à circonscrire un incendie ou à l’éteindre à l’aide de projection d’eau sous pression.
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Une telle installation se compose principalement des éléments suivants:
• une ou deux alimentations en eau
• une réserve d’eau locale dite « source inépuisable » en cas de défaillance ou d’insuffisance des alimentations précédentes
• des pompes de remplissage
• un réservoir sous pression
• un surpresseur
• un réseau de distribution
• les têtes de sprinkleur.
Le croquis de la figure 24.4 donne un schéma simplifié d’une installation sprinkleur ,
Le plus souvent, l’automatisme du déclenchement est local et rustique pour cause de robustesse. Dans les têtes à ampoule, par exemple, l’ampoule de verre, remplie d’un liquide adéquat explose à la température choisie autorisant ainsi le déversement de l’eau pressurisée.
Quelquefois, les têtes sont ouvertes et leur alimentation en eau se fait à distance par le déclenchement d’une vanne-pilote, ce qui permet d’alimenter plusieurs têtes simultanément.
15.2 Les différents types de systèmes
Le principe d’une protection sprinkleur a donné lieu à plusieurs variantes destinées à s’adapter aux différents cas d’emploi, à améliorer l’efficacité et à réduire les contraintes induites en exploitation. Parmi les grandes familles, l’on peut citer:
• le sprinkleur conventionnel. Il est destiné aux installations classiques de stockage ou à celles de grande hauteur. Il est conçu principalement pour éviter la propagation de l’incendie dans les zones avoisinantes du foyer d’origine. À titre d’exemple, les caractéristiques préconisées d’un système -
sprinkleur pour un projet de stockage de produits pharmaceutiques ont été:
— Pression du réseau 0,5 bar
— Débit des têtes : 100 litres I minute
— Une nappe en toiture
—0,9 m libre entre ces têtes et le sommet des charges les plus hautes
— Une nappe, ensuite, tous les 4,6 mètres
— 0,15 m libre entre ces têtes et le sommet des charges
— Un espace minimal entre palettes de 75 mm
— Pas de platelage plein.
• le sprinkleur sous air. Cette solution a été étudiée pour protéger des zones qui ne peuvent pas être mises à l’abri du gel.
• le sprinkleur dit « grosses gouttes ». Ce type d’installation est réservé aux installations d’une hauteur moyenne (6 à 7 mètres) dans lesquelles il n’est
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pas possible de mettre en place des nappes intermédiaires, par exemple dans le cas d’un stockage mobile.
• le sprinkleur type « déluge ». Celle variante a été conçue pour la protection de risques spéciaux pour lesquels on craint un développement particulièrement rapide de l’incendie. Dans ces installations, les têtes de sprinkleur restent ouvertes en permanence. L’alimentation en eau pressurisée se fait à partir d’un seul point de contrôle commandé par un dispositif de détection.
• le sprinkleur type «ESER» (comme Early Surpression Fast Response). Ce système est conçu pour éteindre l’incendie et non plus seulement pour le circonscrire. Il est conçu pour des stockage de l’ordre de 12 mètres de haut ou inférieurs. Son débit est tel qu’il ne nécessite pas de nappes intermédiaires. Celle particularité est notamment intéressante car elle permet sans trop de contraintes de modifier la hauteur des alvéoles et surtout il n’y a plus de têtes susceptibles d’être endommagées à la suite d’une fausse manoeuvre d’un cariste. Pour le projet cité plus haut les caractéristiques préconisées de cette version dans ses deux variantes K14 et K25 ont été respectivement:
— Pression du réseau respectivement : 5 bars et 8,6 bars
— Débit des têtes respectivement : 400 et 450 litres / minute
— Une hauteur maximale des charges respectivement de 10,70 m et 12,20 m
— Une hauteur maximale du plafond respectivement de 12,20 m et 13,70 m
— Une double réserve d’eau de 120 minutes ( 1000 m³)
— Deux groupes motopompes de 450 m³ / H
— Un réseau d’alimentation en eau enterré et complètement bouclé
— Un toit compatible (pente, matériaux, types d’exutoires, etc.).
L’eau utilisée peut être directement celle issue du réseau local de distribution, mais dans certains cas il est possible d’y mêler des adjuvants comme des produits moussants ou des antigels.
15.3 Les différents types de têtes
Là encore de nombreuses variantes existent:
• les têtes à étriers ou à ampoules (Voir figure 24.4)
• les têtes de type « pendant » ou « debout »
• les têtes correspondant à des débits différents (ajutage allant de 10 à 20 mm)
• les têtes à jets multiples
• les têtes murales
• les têtes antigels
• les têtes répondant à un certain !souci esthétique (notamment pour des bureaux), modèles fixes ou escamotables.
Le type de tête est choisi en fonction des risques à couvrir et des dispositions du stockage.
La température de déclenchement est elle aussi, un paramètre à fixer. La couleur des ampoules indique la température de déclenchement. Par exemple une ampoule orange déclenche à 57º alors qu’une rouge ne déclenchera qu’à 68º.
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Il existe, pour des cas très spéciaux des ampoules étalonnées jusqu’à 343º. Les autres systèmes de déclenchement possèdent eux aussi le code de couleurs.
La densité des têtes en surface est un nouveau paramètre à fixer. Cette densité dépend de la classe de risque; elle peut aller d’une tête pour 9 m² jusqu’à une tête pour 16m².
Le nombre de nappes doit également être défini.
Tous ces paramètres ne sont pas uniquement fixés par des règles techniques. Le montant des risques à couvrir et le montant des primes correspondantes sont à prendre en compte.
Pour illustrer ce propos, voici un exemple récent. Il s’agit d’un important magasin de stockage en palettier et de préparation de commandes d’articles de bureau, 15 000 m
² , dernier plan de pose à 7,50 mètres. L’assureur a fixé le taux de calcul de prime d’assurance à 0,045% de la valeur du stock pour une seule nappe de sprinkleur au plafond et un taux de O,037% si une nappe intermédiaire était installée. Il est apparu clairement que le pay-back de cette seconde nappe était si long que celle nappe n’a jamais vu le jour.
15.4 Le choix d’un type de système et de têtes
Le choix d’un système se fera à partir de critères concernant le bâtiment et de critères concernant la nature des produits stockés.
Le critère essentiel touchant au bâtiment est la hauteur, hauteur du sommet de la charge la plus haute et hauteur du plafond.
En ce qui concerne les produits stockés, il s’agit de définir la classe de risques. Celle dernière dépend de la nature des produits et de leur mode de stockage.
L’APSAD classe ainsi la nature des produits:

Risques à faible potentiel calorifique (RFPC)

Cette rubrique ne concerne pas les activités industrielles

Risques courants (RC à RC 3S)

cette rubrique concerne le stockage de produits pratiquement incombustibles, par exemple pièces métalliques

Risques très dangereux
(RTD A à RTD 134)

Cette rubrique concerne le stockage de produits combustibles notamment le stockage de palettes bois.

Risques spéciaux (RS)

Cette rubrique concerne le stockage de produits très combustibles ou instables à la chaleur par exemple huiles, alcools, aérosols, etc..

Les modes de stockage considérés sont les suivants, du moins dangereux au plus dangereux:

• gerbage sans palette (ce qui limite l’arrivée d’oxygène)
• gerbage sur palette
• stockage en palettier.

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De son côté, Factory Mutual System, reconnu comme l’un des plus grands spécialistes mondiaux de l’incendie et de sa protection, classe de façon simplifiée, les risques de la façon suivante:

Classe

Définition

Exemples

I

Produits essentiellement incombustibles, en cartons légers, sur palettes bois

Verre, métaux, céramique

Il

Mêmes produits que ci-dessus mais en plus grande quantité et/ou dans des conditionnements plus combustibles

Emballages renforcés, carton ondulé

III

Produits combustibles emballés dans des matériaux ou conteneurs combustibles, sur des palettes bois, avec peu de matières plastiques

Articles en bois, en cuir, certains aliments

IV

Articles des classes I, Il ou III mais avec une présence considérable de matières plastiques dans le produit lui-même, dans le conditionnement ou dans les palettes.

Matériel de bureautique, produits bruns, etc.

Stockage à
haut
risque

Produits ne rentrant pas dans les classes ci- dessus.

Aérosols, plastiques, alcools, etc.

 

16. LES CONSIGNES
L’article 27 de la circulaire du 4 février 1987 impose d’établir « les consignes de sécurité que le personnel doit respecter ainsi que les mesures à prendre en cas d’incident grave ou d’accident ».
Il impose également de porter ces consignes à la connaissance de l’ensemble du personnel, avec des rappels réguliers, notamment par voie d’affichage dans des lieux régulièrement fréquentés.
Ces consignes doivent traiter:
• le cas d’un incendie (N’ de téléphone interne à composer, conseils d’utilisation des extincteurs, attitude à prendre en cas de dégagement de fumée, interdiction d’emprunter ascenseurs ou monte-charge, N’ d’appel de l’équipe extérieure de secours, etc.),
• le cas d’accident (N’ de téléphone interne à composer, conseils divers),
• l’évacuation (rappel du signal donnant l’ordre d’évacuation, direction dans laquelle l’on doit se diriger, désignation du lieu de rassemblement, etc.).
Les ergonomes conseillent de faire le plus grand usage de pictogrammes qui sont le moyen le plus sûr et le plus rapide de donner un maximum d’informations, particulièrement en période de stress, pour autant, bien sûr, que les figurines soient bien choisies et sans ambiguïté.
Les affiches rappelant ces consignes doivent être accompagnées d’un plan d’évacuation.

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Schéma simplifié d’une installation sprinkleur

Figure 24.4 -Miniature Schéma simplifié d’une installation sprinkleur -334

-334

Figure 24.4 — Schéma simplifié d’une installation sprinkleur

 


17. LE DOSSIER DE DEMANDE D’AUTORISATION
17.1 Le rôle du dossier
Ce dossier, à présenter à la préfecture doit être rédigé par un spécialiste. Il ne peut pas être finalisé, au plus tôt, avant la fin de l’APS, du fait des renseignements qu’il doit contenir. Si l’on ne veut pas trop rallonger le planning du projet, il conviendra de l’établir si possible en parallèle de l’APS ou de l’APD. Ce document est indispensable pour obtenir l’autorisation d’exploiter qui est elle-même indispensable pour obtenir le permis de construire (article 5 de la loi du 19 juillet 1976).
17.2 Le contenu du dossier
À titre d’exemple, pour bien mesurer l’étendue du travail nécessaire pour
élaborer un tel document voici son sommaire:
• Lettre de demande d’autorisation
• Description de l’installation
— Présentation de la société (généralités, historique, personnel, ...)
— Emplacement de l’établissement (situation géographique, localisation, voies de circulation et d’accès, abords, ...)
— Description détaillée des bâtiments et des installations
— Nature et volumes des activités exercées
• Étude d’impact
— Résumé de l’installation
— État initial (localisation, occupation des sols, flore et faune, état de référence climatique, qualité de l’air, qualité de l’eau, environnement sonore)
— Effets directs et indirects sur le site et le paysage
— Effets directs et indirects sur l’air
— Effets directs et indirects sur l’eau (consommation, utilisation, évacuation des eaux usées et pluviales)
— Effets directs et indirects sur le bruit (niveau limite de bruit, localisation des sources sonores, niveaux sonores ambiants)
— Effets directs et indirects sur le trafic routier
— Étude concernant les déchets (identification des sources, gestion des déchets)
— Investissements pour l’environnement
• Étude de dangers
— Généralités
— Identification des risques
— Incendie au niveau des stockages (naissance d’un incendie, développement et propagation, rayonnement thermique, risques liés aux chargeurs de batteries, risques liés à la foudre)
— Pollution accidentelle (de l’air, de l’eau)
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— Mesures préventives et moyens de protection (implantation, construction et aménagement, équipements, exploitation, prévention des risques, dispositions diverses et autres mesures)
— Moyens de secours (privés, schéma d’alerte, publics)
• Notice d’hygiène et de sécurité
— Dispositions générales (effectifs, horaire de travail, affichage, registre)
— Hygiène (installations sanitaires, aération, assainissement, ambiance thermique, éclairage, ambiance sonore, repas)
— Sécurité (machines et appareils, appareils de levage, installations électriques, matériels de sécurité, organisation médicale)
• Annexes
— Extrait du P0S
— Données climatologiques locales
— Coordonnées collecteurs et éliminateurs de déchets
— Fiches de données de sécurité
— Plan au 1/25 000е
— Plan au 1/2 000е
— Plan au 1/500e.
Ce simple sommaire montre l’étendue du travail à fournir.
18. LES ÉQUIPES DE SECOURS
18.1 Les textes
La fonction de sécurité est une obligation du code du travail Livre Il, Titre III, article 233-1 et suivants. Il est également imposé que le chef du service sécurité soit directement rattaché à la direction de l1établissement.
18.2 La composition de l’équipe et les rôles
Des spécialistes des Sapeurs-Pompiers conseillent l’organisation suivante: un encadrement composé du chef de service sécurité, d’un responsable de l’équipe ou du service incendie et un responsable chargé de la mise à l’abri des personnes et une équipe d’intervention, elle-même répartie en cinq groupes:
• un groupe de première intervention, réparti dans toutes les unités de l’établissement
• une équipe de deuxième intervention constituée par des membres du service entretien ou des services généraux et appelée à la rescousse quand le premier groupe ne suffit plus en nombre ou en compétence
• des secouristes brevetés et régulièrement ré-entraînés
• des guides d’évacuation choisis parmi la hiérarchie, chefs de service, cadres, agents de maîtrise ou chefs d’équipes
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• une équipe de surveillance et éventuellement de gardiennage qui effectuera des rondes de surveillance et une permanence au point fixe.
C’est à l’encadrement de ce service que revient la responsabilité de l’élaboration des consignes de sécurité, de la constitution des plans d’évacuation, de l’organisation des exercices d’alerte, de la demande d’audit, de l’établissement des plans de formation.
Ce travail sera d’autant plus efficace qu’il sera mené en étroite collaboration avec les spécialistes des Sapeurs-Pompiers.
19. LES AUDITS
Certaines sociétés qui s’attachent à atteindre l’excellence, ont décidé de se remettre en cause tous les six mois ou tous les ans. Pour cela, elles mettent en place une procédure d’audit. Une fois sur deux il s’agit d’un audit interne, la seconde fois, il est fait appel à un expert extérieur.
Cette pratique, qui peut paraître a priori dispendieuse, semble à l’expérience, s’avérer très efficace et finalement peu coûteuse. En effet, il est moins difficile de se maintenir régulièrement à niveau que d’être obligé, quelquefois sous la contrainte, à des remises à niveau drastiques. L’audit d’un site où l’on est resté vigilant ne demande guère plus d’une journée. Ce qui vient d’être dit est d’autant plus vrai pour tout ce qui touche à la sécurité.

 auditoperationnel_log_synthese (voir proposition d'audit de sécurité)

20. LES TEXTES RÉGLEMENTAIRES

 

20.1 Les principaux textes législatifs et réglementaires français

 

Texte

Sujet

Loi N 76-663 du 19 juillet 1976

Installations Classées pour la Protection de l’Environnement  (ICPE)

 

Décret N 77-1133 du 21 septembre 1977 modifié

 

Décret d’application

Arrêté du 31 mars 1980

Réglementation des installations électriques dans les sites classés

Décret 88-622 du 6 mai 1988

Obligation d’un P01 et d’un PPI pour les sites dits « Seveso »

Directive 82/501/CEE du 24 juin 1982 dite «SEVESO»

Réglementation communautaire concernant les sites classés ICPE

Circulaire du 4 février1987

Réglementation des entrepôts couverts

Décret N 92-646 du 7juillet 1992

Définition de la « Nouvelle nomenclature »

 

 

 

 

 

 

 


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Livre: Michel Roux: sections\livres_logistique
 

 

 

 

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