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A mon avis, la recherche d’un « vaccin » contre le Coronavirus COVID-19, et une démarche qui ne prends pas en compte la plupart des propriétés de ce virus, et obtiendrons une sorte de « pause », tout en gardant, et en ayant mis en activation un virus de plus. Et ce n’est pas possible d’incriminer la nature, alors que des nouveaux virus, toujours plus intelligents, et plus dangereux voient le jours. W.E Gutman Floride : On le dit issu d’un métissage diabolique microbien entre un pangolin, une chauve-souris, peut-être même un serpent.... |
cartoon-virus-mortel-en-chine-encore_masque-performant-Anti-radioactif-Coronasvirus-COVID-2019 |
Je respecte les imminentes personnalités scientifiques qui travaille d'arrache pieds, comme souvent et à chaque fois, pour endiguer cette épidémie du COVID-19.
La Chine a agit depuit octobre 2019, et testé divers éliminations du Coronavirus-COVID-19. Tous les coronavirus de cet ère industrielle, sont issus de la radioactivité, même si accidentellement, les chinois ont simplement rajouté à leur morphologie des propriétés de certains hôtes du règne animales. Ce qui ne tient nullement debout, parce que, vivant avec une diversité d’autres animaux, aucune transmission ne s’effectue. Mais la radioactivité détruit tous les tissus de humains, animaux, détruit le vivant comme il n'y a qu'elle qui sait le faire, par rapport à d'autres matières non modifiées chimiquement, et jamais forcées à des fusions, éclatement, ou soumit aux contraintes réductrices en des microparticules, ou encore nanoparticules. |
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Un laboratoire P4 n'est pas synonyme d'exclusion totale, même dans les temps futurs des gestes répétitifs, le mental ou état psychique d'un moment, d'erreurs du "genre humain", qui s'implique de manière naturelle à un temps "T-A", pour temps, affaiblissement, et agit, en pleine action que le scientifique exécute ce qu'il pense être sains, et cela, se passe un 1 millième de seconde. Laboratoire P4La classification P4 d'un laboratoire signifie « pathogène de classe 4 » et le rend susceptible d'abriter des micro-organismes très pathogènes. Dans le monde, les laboratoires de ce type sont également nommés « BSL 4 », de l'anglais : biosafety level 4. Ces laboratoires P4 de Wuhan, DOIT ETRE DEMOLIT !!,Ces agents de classe 4 sont caractérisés par leur haute dangerosité (taux de mortalité très élevé en cas d'infection), l'absence de vaccin protecteur, l'absence de traitement médical efficace, et la transmission possible par aérosols. La protection maximale exigée pour manipuler ces germes est désignée par le sigle NSB4 (niveau de sécurité biologique 4).Source : https://fr.wikipedia.org/ C’est à nous la population de la terre trompée, et mis à l’épreuve dans un gigantesque crime par manque d’une accoutumance aux normes de cet ère « atomique », ou technologique et informatique, de garde-fou, etc. de la part des chinois.
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Le docteur Li Wenliang qui a révélé l'existence du nouveau coronavirus sur son lit d'hôpital à Wuhan, le 7 février 2020 - Li WENLIANG Ce laboratoire P4 de Wuhan est au cœur des accusations américaines contre la Chine Quel est ce site ?L'origine du virus ? Pékin refuse de porter le chapeau, et n'arrete pas de changer de version. Ces laboratoires P4 de Wuhan, DOIVENT ETRE DEMOLIT !!,A Washington, le conseiller à la Sécurité nationale, Robert O'Brien, a accusé mercredi la Chine d'avoir "fait perdre deux mois au monde" en tentant d'étouffer l'épidémie. La chaîne américaine Fox News, citant “plusieurs sources” anonymes, a incriminé le laboratoire P4 (pour pathogène de classe 4) du site. Il s’agit d’une installation de très haute sécurité, qui héberge les souches les plus dangereuses des virus connus ― comme Ebola. LISTE DE TOUTES LES PAGES DU DOSSIER COVID-19 EN BAS DE LA PAGE SVP. Merci. |
![]() ![]() ![]() Soyons raisonnables. ARRÊTEZ DE HARCELER LE PR. MONTAGNIER, LE VIRUS A FUIT PAR « FACTEUR HUMAIN », PROBLÈMES PERSONNELLES, FAIBLESSES, GESTES RÉPÉTITIFS, ET C’EST AUSSI DANS LES AUTRES DOMAINE OU ON CROYAIT DES PRO SANS DÉFAUT !! EN PLUS DEPUIS LA CONSTRUCTION DE CE LABO P-4, À CÔTÉ DES ANIMAUX, PAS VRAIMENT MANGÉS A GRANDES ÉCHELLES, LEURS VIRUS, QUI SE RÉPANDENT, COMME ACCUSÉS, LA POPULATION AVEC ! IL FAUT DÉTRUIRE CES LABO, ET PLUS JAMAIS UN LABO P-4 EN ASIE ! Mis à part les accusés à tort Pangolins, chauve-souris, et serpents, qui n’ont jamais exterminés les chinois durant des millénaires, qu’ont nous en apporte la preuve. Il y a des nombreux écrits très anciens de la vie du peuple chinois, mongole, etc. Certains documents anciens pourraient être entre les mains successifs des colons, emportant certaines pièces de lectures, entre les objets de culture. Ce laboratoire P4 de Wuhan, qui serait à moins de 400 mètres du marché d'animaux vivants pour la consommation des chinois, ainsi que le deuxième dans la même ville, devraient disparaître de la surface de la terre. Depuis sa création, on démarré les nouveaux virus, et que des animaux consommés durant des siècles, même en Afrique, Amérique latine, produisent des virus, que la nature a faite, au début des temps des premiers « animaux vivant » sur terre, dans une atmosphère toxique, et de nos jours nous avons encore des héritages de ces genres de poisons, mais, jamais avec une « évolution intelligente » tel que les SRAS, les coronavirus , et de même, ils auraient utilisé les poissons, les oiseaux pour contaminer les cinq continents. Réfléchissez, si vous en avez envie, moi je suis avec le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine très souvent conspué par la profession. Et franchement insulté par un représentant de la fondation Pierre et Marie Curie, ce samedi 18.04.2020 autour de midi…qu’il aurait des symptômes psychologiques, etc. MERS-CoV, SARS-CoV-2, un virus à ARN monocaténaire de polarité positive, SARS-CoV (parfois SARS-CoV-12), Ébola, Sida, etc. Le toute en une 20 ans, plus 30 avec le Sida. |
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JE PERSISTE ET SIGNE QUE CE VIRUS N’EST PAS D’ORIGINE ANIMAL. C’EST UNE « BOUTURE » ou "culture", qui était mise en attente, dans le cas ou les créations de molécules ou nano particules, éclatées, et mise en un mini collisionneur (assez large…), « inconnues », tout comme leurs réactions, auraient réagi, et se seraient « transformées, « fusionnées », en prenant en compte le confinement, et tuyauteries diverses à mon avis, puis dans une température fatidique, qui a provoquée des ensembles de nano particules radioactives, ou d’une autre nature tout aussi dévastatrice.
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Coronavirus : la Chine en guerre contre la vérité.Commentaires
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Ceci est une vue personnelle, et ne constitue pas une étude des scientifiques, ni des milliers de cellules de test en diverses déclinaisons, qui en fait travaille sur le rendu des matières constituées dans la surface, croutes terrestres, et couches successives, eau, environnement forestier, air. Je ne suis pas scientifique, j'ai fait des études et obtenu des diplômes d'études supérieures. Mon âge est plus de la soixantaine, plus, et plus quand même ;-(( Réflexions et raisonnements personnelles, pour venir à bout et l’élimination du Coronavirus-COVID-19. C’est des méthodes de très grands empileurs, et non des demis mesures qui laisse la possibilité au Le Coronavirus-COVID-19 de revenir. On a toujours fait sans investir, c’est là, la controverse, face à la grandeur des faits, de l’homme, et de notre seul univers. |
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CONFINEMENT !!! |
Cette pandémie d'une maladie infectieuse émergente, est la pandémie de maladie à coronavirus de 2019-2020, appelée COVID-19 apparut de manière très RAPPROCHÉ par des vagues successives venant de Chine ON LE SAIT à Présent de chine, à mon avis sont des fuites des tests en minerais pour l’électronique, surtout pour les batteries des voitures électriques, etc. associations des molécules, et atomes, nanoparticules, qui débute en DÉBUT NOVEMBRE 2019, ET SUREMENT D’AUTRES PAYS. D’APRÈS LES QUESTIONS QUE SE POSE LES OBSERVATEURS ITALIENS EN MALADIES INFECTIEUSES, ON PEUT SE PERMETTRE DE SUPPOSER QUE D’AUTRES PAYS ÉTAIENT DÉJÀ DANS LE MÊME CAS. LES SPÉCIALISTES ITALIENS, ET HÔPITAUX MÉDECINS ONT REMARQUÉ CE QU’ILS PENSAIENT ÊTRE DES PNEUMONIES, OU GRIPPES, une forme de symptômes d’une violence, et des issues sans solution, ils étaient dépourvus ! C’EST LES SYMPTÔMES DÛ AU CORONAVIRUS-COVID-19 QUI EN A FAIT LA PARALLÈLE. En déduction, presque 5 MOIS DE DÉVELOPPEMENT pour l’Italien, et SEULEMENT DEPUIS FÉVRIER, OU MARS POUR LE RESTE DU MONDE. Ceci correspond à ce que viens d’affirmer notre confrère KADIOMBO dans sa vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=7mqyeh4pVo0 (en lingala, désolé…). IL S’EST PRODUIT DES DÉBUT NOVEMBRE ET DÉCEMBRE LE MÊME PHÉNOMÈNE QU’EN ITALIE, CERTIFIÉ PAR DES MÉDECINS DE LA RDC. Ce n’est que le début, et pire, le temps joue contre le monde. LA CHINE ET WUHAN, EN CHINE CENTRALE, ONT TU L’AFFAIRE, ET N’EN ONT JAMAIS AVERTI L’OMS, car c’était DES ACCIDENTS DES TESTS À RISQUES CHIMIO ATOMIQUES RATÉES qui s’est propagée dans le monde entier, en déciment comme jamais ! Ce n’est pas un virus d’origine animale, ou, ils ont expressément voulu le faire croire, c’est assez prévisible, et connut.
Ensuite on aurait même, déjà débuter la surveillance des animaux, et des forêts de montagne, et de plaine. Analyser les forêts, et les autres territoires en dehors des villes.
Comment la Chine à laissé s'échapper le Coronavirus-COVID-19. Il n'a jamais était d'origine animale. C'est un mensonge, et une manipulation "de molécules", mais la Chine ment, et ne sait plus que dire. |
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Quelques exemples d'éléments, milieux de l'atmosphère, qui créent un champs d'attraction entre le Coronavirus-COVID-19 |
Aucune autorité n'à dit la vérité, et c'est le système des annéees 1945 à nos jours qui est appliqué, on nous prends pour des idiots. |
Tentative de démontrer les résultantes, si j'en trouve. |
DES EXEMPLES D'UNE ACTIVITÉ DANGEREUSE, NE PRENANT PLUS EN COMPTE LES POPULATIONS CHINOISES ET DU MONDE.6 January 2019
Le Temps (Switzerland)L’idylle de la Chine avec le nucléaireAlors que le reste du monde se détourne de cette forme d’énergie, Pékin ne cesse de construire de nouvelles centrales. Une façon de lutter contre le smog et de soutenir la croissance.
SOURCE :L’idylle de la Chine avec le nucléaire6 January 2019https://www.letemps.ch/monde/lidylle-chine-nucleaire
ChinaNumber of Reactors
(as of March 2020)
7.9
Mean Age of Reactor Fleet
(as of March 2020)
4.2%
Stable
Nuclear Share in Electricity Production
(2018)
Le Temps Publié dimanche 6 janvier 2019 à 15:31, modifié dimanche 6 janvier 2019 à 15:32. Julie Zaugg, Hong-Kong Fin décembre, le prix de l’uranium atteignait 29 dollars la livre, une hausse de 41% depuis avril. Cet étrange sursaut du prix d’une commodité largement délaissée depuis la catastrophe de Fukushima, qui a mis en lumière les dangers du nucléaire, est dû à un seul acteur : la Chine. Alors que le reste du monde – le Japon et l’Allemagne en tête – se détourne de cette forme d’énergie, l’Empire du Milieu mise tout dessus. « La Chine est désormais le troisième producteur mondial d’électricité nucléaire, derrière les Etats-Unis et la France, indique Mycle Schneider, qui produit chaque année le rapport World Nuclear Industry Status. Mais elle est surtout à l’origine de la majorité des nouveaux réacteurs mis en service. » En 2018, il y en a eu neuf, dont sept en Chine. A la fin de l’année, le pays disposait de 46 installations de ce type et en avait une douzaine d’autres en construction. « Cela va lui permettre de rattraper la France, dont le parc nucléaire compte 58 réacteurs », note l’expert. Accélération sous Xi Jinping Le programme nucléaire chinois a démarré en 1985. « Mais jusqu’au début des années 2000, seules trois centrales ont été construites, souligne Mark Hibbs, auteur d’un livre sur ce thème. Il a fallu attendre 2005 pour que le pays se mette vraiment à investir dans cette technologie, sous l’impulsion du premier ministre Wen Jiabao. » A son arrivée au pouvoir en 2012, le président Xi Jinping a accéléré le processus. « Les besoins en électricité du pays croissaient de 10% par an et les villes étaient noyées sous le smog, poursuit-il. L’énergie nucléaire représentait une solution simple et efficace pour résoudre ces problèmes. » Il s’agit aussi d’une question de prestige. « Avoir un programme nucléaire, surtout si celui-ci est à la fois militaire et civil, permet de rejoindre le club des grandes puissances mondiales », glisse Mark Hibbs. Pour vraiment jouer dans la cour des grands, Pékin se devait toutefois de développer sa propre technologie. Savoir-faire chinois En septembre, la centrale Sanmen-1, à Zhejiang, sur la côte est, est devenue la première du monde à mettre en service le réacteur de troisième génération AP1000 de l’américain Westinghouse Electric. Trois mois plus tard, la centrale Taishan-1, dans le Guangdong, déployait pour la première fois le réacteur EPR du français Areva. Une installation est en outre en construction dans le Fujian, dans le sud-est du pays, pour mener des essais sur le Hualong One, le premier réacteur entièrement chinois. Développé par les firmes étatiques China General Nuclear Power Group (CGNPG) et China National Nuclear Corporation (CNNC), il est largement inspiré par le design de l’EPR français. Ces avancées donnent des sueurs froides aux Occidentaux, qui craignent de se faire ravir leurs technologies par Pékin. Cet été, l’Allemagne a empêché le chinois Yantai Taihai Group de racheter l’équipementier Leifeld Metal Spinning, dont les machines peuvent servir à fabriquer des composants pour les centrales nucléaires. En octobre, les Etats-Unis ont imposé des restrictions sur l’exportation de matériel nucléaire civil à la Chine. Des résistances à l’atome Reste que l’avenir du nucléaire n’est pas non plus assuré dans l’Empire du Milieu. « L’économie a ralenti, ce qui diminue les besoins en énergie, relève Mark Hibbs. L’industrie nucléaire est également en compétition avec celle du charbon, qui emploie des millions de mineurs et bénéficie du soutien du Parti communiste. » A l’heure actuelle, le nucléaire ne représente que 3,9% de la production énergétique chinoise, contre plus de 70% pour le charbon. La catastrophe de Fukushima a aussi secoué les esprits. Fin décembre, les habitants d’un quartier de Changsha, dans le Hunan, ont protesté contre la construction d’un laboratoire nucléaire, craignant les effets de la radioactivité sur leur santé. Pékin cherche donc désormais à exporter son savoir-faire nucléaire. Plusieurs centrales chinoises sont en construction au Pakistan. Un tiers du capital investi dans le futur complexe de Hinkley Point, au Royaume-Uni, est d’origine chinoise. Le pays va également fournir des centrales à l’Algérie, à l’Argentine, au Soudan, au Kenya, à l’Afrique du Sud, à la Roumanie et à la Turquie. |
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Covid-19 : le virus provient-il d’un laboratoire chinois ?Le laboratoire P4 de l'Institut de virologie de Wuhan, vendredi. Photo Hector Retamal. AFP Plusieurs articles sortis dans la presse américaine relancent le débat à propos de l’origine du Sars-CoV-2. Depuis janvier, un laboratoire de virologie à Wuhan est évoqué avec persistance comme potentielle source de l'épidémie, entre fausses informations et vraies hypothèses du renseignement américain.Question posée le 17/04/2020. Bonjour, Votre question concerne différentes rumeurs et hypothèses qui circulent depuis le mois de janvier sur l’origine du nouveau coronavirus (Sars-CoV-2), responsable d’une pandémie dont le point départ était la ville de Wuhan. Dès la fin du mois de décembre 2019, les autorités locales désignaient un marché de la ville comme épicentre de l’épidémie en Chine. «Les preuves suggèrent fortement que l’épidémie est associée à des expositions [entre humain et animal] sur un marché de fruits de mer à Wuhan», indique dans la foulée, mi-janvier, l’Organisation mondiale de la santé. Quelques jours plus tard, une étude publiée par la revue médicale britannique The Lancet note toutefois que le premier patient répertorié n’aurait aucun lien avec le marché, laissant ouverte la question de l’origine du virus. Un virus naturel échappé du laboratoire P4 de Wuhan ?Dans une série d’articles publiés depuis le 14 avril, plusieurs médias américains rapportent que les services de renseignement de la Maison Blanche «considèrent la possibilité» que le coronavirus ait pu s’échapper d’un laboratoire chinois, comme l’a par exemple écrit Yahoo News. Tous citent des sources anonymes «dans le renseignement ou la sécurité nationale» avec plus ou de moins de prudence, et visent entre autres l’Institut de virologie de Wuhan qui héberge un laboratoire de catégorie P4 (en référence aux «pathogènes de classe 4» que le niveau de sécurité du labo permet de manipuler, soit les micro-organismes les plus dangereux). Fox News fait partie des plus affirmatifs : selon la chaîne pro-Trump, l’administration américaine serait «de plus en plus assurée» du fait «que l’épidémie trouve son origine dans un laboratoire de Wuhan». Rien de définitif toutefois, puisque les sources de Fox News ne font que «croire» que «la transmission initiale du virus […] est de la chauve-souris vers l’humain et que le patient zéro travaillait dans ce laboratoire». A noter que ni Yahoo News ni Fox News ne prétendent que le virus ait pu être fabriqué dans ce laboratoire (contrairement à ce que certains médias français ont pu écrire), mais qu’un accident aurait conduit à sa diffusion. Avertissements officiels à Washington en 2018Dans un article à mi-chemin entre l’enquête et la tribune, c’est le Washington Post qui a ajouté un nouvel élément au dossier. Le quotidien américain révèle ainsi que «deux ans avant la pandémie de coronavirus, des responsables de l’ambassade américaine ont visité des installations de [l’Institut de virologie de Wuhan] plusieurs fois et ont envoyé deux avertissements officiels à Washington sur les conditions inappropriées de sécurité dans le laboratoire, qui conduisait des études risquées à propos des coronavirus provenant de chauve-souris». Ces câbles diplomatiques ont «alimenté les discussions au sein du gouvernement américain sur le fait de savoir si ce laboratoire de Wuhan ou un autre» était à l’origine de la contamination, «même si des preuves concrètes restent à être trouvées». Preuve du flou qui persiste dans cette affaire, le Washington Post relève que les soupçons américains portent aussi bien sur l’Institut de virologie de Wuhan que sur le Centre de contrôle et de prévention des maladies de la même ville, qui dispose, lui, d’un laboratoire d’un niveau de sécurité inférieur (P2). Enquête américaineD’autant que les diplomaties occidentales restent à ce stade vagues sur le sujet. «Nous menons une enquête exhaustive sur tout ce que nous pouvons apprendre sur la façon dont ce virus s’est propagé, a contaminé le monde et a provoqué une telle tragédie», a ainsi déclaré Mike Pompeo, chef de la diplomatie américaine, toujours sur Fox News. Emmanuel Macron a lui estimé qu’il existait des «zones d’ombre» dans la gestion de l’épidémie par la Chine, dans un entretien au Financial Times, et qu’il y a «manifestement des choses qui se sont passées qu’on ne sait pas». Selon une source à l’Elysée, cette réponse n’avait toutefois pas de lien avec la polémique sur le laboratoire : «Le Président répondait à une question générale sur la plus grande capacité supposée des régimes autoritaires à gérer l’épidémie, et rappelait la nécessité absolue de transparence à l’échelle globale pour combattre l’épidémie, transparence rendue difficile quand il n’y a pas de liberté d’expression et d’information.» Début avril, le tabloïd Daily Mail expliquait de son côté que «l’hypothèse» d’une fuite du laboratoire «n’était plus écartée» par des sources gouvernementales britanniques. Là encore, il s’agissait d’une hypothèse de travail, et non de la conclusion d’une enquête. Côté chinois, la chercheuse Shi Zhengli, spécialiste reconnue du coronavirus basée à l’Institut de virologie de Wuhan a expliqué au magazine Scientific American s’être interrogée : «Si les coronavirus sont les responsables [de l’épidémie], est-ce qu’ils viennent de notre labo ?» Elle assure toutefois que les séquences du Sars-CoV-2 ne correspondent à aucun des virus sur lesquels elle ou son équipe travaillaient. La diplomatie chinoise écarte également l’hypothèse, estimant que cette «soi-disant fuite n’a aucune base scientifique». «Fabriqué»Avant ces articles, une théorie s’était largement répandue sur les réseaux sociaux, dès janvier : le virus aurait été «fabriqué» dans ce laboratoire de Wuhan. La rumeur a évolué au gré des reprises par les internautes jusqu’à la diffusion, début mars, d’une vidéo française qui assure que le virus aurait été créé par l’Institut Pasteur. Ces images deviennent virales : en quelques heures, elles cumulent plus de 3 millions de vues et 100 000 partages. Pourtant, absolument rien n’accrédite ces thèses. Si l’Institut de virologie de Wuhan dispose bien d’un laboratoire P4, la piste d’un virus «fabriqué» a été écartée par l’ensemble de la littérature scientifique sur le sujet. Manipulation génétique d’un virus : une thèse réfutable… et réfutéeSelon les principales rumeurs relayées sur les réseaux sociaux et par certains médias, le Sars-CoV-2 proviendrait d’une «manipulation intentionnelle», soit du Sars-CoV-1 (virus responsable de l’épidémie de 2002 en Chine), soit d’un virus de chauve-souris. Un virus se réplique en transférant son génome dans les cellules des organismes qu’il infecte. Les copies du génome ne sont pas toujours parfaites : les anomalies de réplication (les «mutations») sont aléatoires. En comparant le nombre et la localisation des mutations dans deux génomes de virus, on peut déterminer s’ils sont de très proches parents… ou de très lointains cousins. Les mutations très rapides des coronavirus infectant les animaux sont abondamment documentées dans la littérature scientifique vétérinaire. Ces mutations spontanées favorisent l’émergence de souches pouvant infecter de nouvelles espèces (divers virus porcins dérivent ainsi de coronavirus infectant les chauves-souris, les oiseaux ou les chiens). La lignée animale qui a favorisé l’émergence du Sars-CoV-1 est connue, puisque son génome est à semblable à 99,8% avec celui d’un coronavirus infectant les civettes palmistes. La séquence du génome du Sars-CoV-2, pour sa part, est semblable à 96,3% à RaTG13-CoV, un bêta coronavirus de chauve-souris. De leur côté, les différences entre Sars-CoV-1 et Sars-CoV-2 avoisinent les 20% ! L’étendue de ces différences démontre que le coronavirus responsable du Covid-19 ne dérive pas de celui responsable de l’épidémie de 2002. Les mutations qui séparent RaTG13-CoV de Sars-CoV-2 sont-elles naturelles, ou artificielles ? La question semble d’autant plus pressante que le coronavirus issu des chauves-souris a été séquencé par des chercheurs de Wuhan. Des analyses détaillées des deux génomes, réalisées par plusieurs équipes indépendantes, montrent que les différences «sont réparties dans tout le génome, selon un schéma naturel qui suit les caractéristiques évolutives typiques des CoV». Autrement dit, la répartition aléatoire des mutations correspond à un processus naturel. En outre, le nombre de ces mutations démontre que les deux virus sont de proches cousins, mais qu’il existe nécessairement des formes virales intermédiaires – et probablement des hôtes intermédiaires – qui restent à identifier. Le Sars-CoV-2 ne peut donc pas avoir été créé en laboratoire à partir de RaTG13. Une troisième rumeur, qui circule essentiellement sur les réseaux sociaux chinois, selon laquelle le CoV responsable du Covid-19 aurait été créé par les Etats-Unis. Cette thèse s’appuie sur l’existence de travaux menés en 2015 en Caroline du Nord et impliquant un chercheur de Wuhan. Leur objet : les effets de l’intégration intentionnelle d’un gène de RsSHC014 (un autre coronavirus de chauve-souris) dans le génome du Sars-CoV-1. En réalité, les différences entre le génome du virus étudié par ces chercheurs et le Sars-CoV-2 sont extrêmement nombreuses. La proximité entre le virus du Covid-19 et le RaTG13 ne laisse de toute façon guère de champ à cette thèse. Pas d’inserts du VIH dans le Sars-CoV-2Une version alternative de la rumeur veut que le coronavirus en circulation présente des séquences issues du génome du VIH-1, virus responsable du sida. L’hypothèse a été formulée le 2 février par des chercheurs indiens dans une prépublication sur le site MedRxiv. Selon eux, quatre mutations du Sars-CoV-2 étaient soit identiques soit similaires à des mutations existant dans trois souches distinctes du VIH-1. Ces allégations ont été méticuleusement réfutées par une équipe de virologue chinois et nord-américains. En effet, les séquences prétendument identifiées comme des «inserts» du code génétique du VIH ne sont en réalité pas caractéristiques du virus de l’immunodéficience humaine, et se retrouvent dans de très nombreux virus. Plus encore : les séquences du Sars-CoV-2 étudiées par les Indiens partageaient bien plus de similarités avec d’autres virus qu’avec le VIH ! Enfin, les fameuses séquences se retrouvent également dans plusieurs coronavirus de chauve-souris découverts plusieurs années avant le Sars-CoV-2. Au vu de sa très grande fragilité, l’article indien a été retiré de MedRxiv. Ce qui n’empêche pas certains de remettre la thèse sur le tapis, avec les mêmes arguments. Parmi eux, on trouve le professeur Luc Montagnier qui, dans une interview au site Pourquoidocteur, évoque l’article indien en se gardant bien d’expliquer les raisons de sa suppression de MedRxiv. Il reprend à son compte l’idée d’inserts du VIH dans le Sars-CoV-2, en faisant fi des réfutations déjà apportées. Il n’est pas inutile de rappeler que, bien que récipiendaire d’un prix Nobel en 2008 pour sa codécouverte du VIH, le professeur Montagnier s’est depuis largement illustré par la défense de thèses réfutées par les faits scientifiques : possibilité de transmettre «l’empreinte électromagnétique de l’ADN» par Internet, traitement de la maladie de Parkinson avec de la papaye fermentée, guérison du sida nécessitant simplement «un bon système immunitaire», tests fantaisistes de détection de la borréliose de Lyme, etc. A noter enfin que concernant l’épidémie de Sras de 2002-2004, il avait fallu attendre plusieurs années pour que des études scientifiques confirment les origines de la contamination. Laurence Defranoux , Vincent Coquaz , Florian Gouthière
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Il y aurait également des témoignages dans la même période, des douleurs très violente, qui consistaient à des ressentis comme si on avait des dizaines de couteaux, qui vous perçaient depuis l'intérieur du corps vers l’extérieur. On ne peut pas bouger, la douleur se rééparpillait sur tout le corps. 3 Nuits blanches au moins. Le moindre mouvement était synonyme de "dépècement du corps. Surtout la partie supérieure à la nuque. On était en démembrement. Jamais existé je pense. Il y a un lien avec ce COVID-19, qui a des propriétés d'infections nucléaires. On verra dans 9 mois. |
LA SUITE DES COMMENTAIRES, SI LA SITUATION L'EXIGE Si vous avez des témoignages, contactez le centre scientifique des maladies rares, ou infectueuses de votre pays, ou régions, avec les patients présumés, etc. |
Contacte webmaster"arobase"lomag-man.org. 10h45. Le Covid-19 a fait sa première victime aux Etats-Unis 20 jours plus tôt qu’on le croyait. |
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INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES DANS CETTE COLONNE JUSQU'EN BAS.
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![]() Nous devrions être conscient que les résidus de ce Coronavirus-COVID-19, jamais eu un qui voyage sur toute la terre à cette vitesse, et comportement de circulation entre tout écosystème, ont dirait un appareil qui est bel et bien doté d’une intelligence artificielle. Ce qui est le cas ! |
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DIVERSES MATIÈRES INVISIBLES, ET SE COMPORTANT DANS DES DÉCLINAISONS MULTIPLES QUE LE CORONAVIRUS CODIV-19, EXISTE SUR TERRE. Ci contre : 1- Le polonium peut aussi être produit en petites quantités par des réacteurs nucléaires en irradiant du bismuth 209, une molécule radioactive, et dans des laboratoires. Il peut être utilisé comme source d'énergie pour les satellites. 2- Ainsi que le COBALT |
OR, ZOE ET JOSEPH KABILA SONT ACTIF DANS LA RÉGION DU KATANGA OU L’URANIUM SE RAMASSE AU SOL. DES PERSONNAGES SCIENTIFIQUEMENT MALADES PSYCHIQUE. ACTIF DANS CETTE RÉGION DEPUIS 20 ANS, LES CHINOIS ONT AMASSÉS SANS AUCUNE PRÉCAUTION DES TONNES D’URANIUM, DE COBALT, ET AUTRES « TERRES RARES » Les chinois sont responsables d’utilisation de plusieurs matières atomiques, avec des mélangent sans suivre les normes des propriétés de chaque élément dans les nanoparticules des matières, parfois suivis d’erreurs. Lests chinois se sont enchaînés depuis plusieurs mois, ou années, jusqu’à ce qu’un poison soit né depuis plusieurs mois de leurs actes irréfléchi et criminel pour le monde. IL EST IMPOSSIBLE DE DISSIMULER LES MAUVAIS MÉLANGENT AUXQUELS DES PARTICULES NON IDENTIFIÉES ONT PASSE DANS LEURS MÉLANGENT DE NANO PARTICULES, AFIN D’OBTENIR DE L’ENERGIE POUR DIMINUER LE POIDS DES BATTERIES DES AUTO, et autres objets. |
La résultante du problème du poison actuel dont la mise en "cloche" après les test CHINOIS a était une précipitation dans la démarche chimique SANS SUIVRE LES NORMES, EN UTILISANT DES MOLÉCULES ATOMIQUES INVISIBLES, VOLATILES, QUE CE SOIE L'URANIUM, ET UN PRODUIT ISSU DE L'INTÉRIEUR DE CELUI-CI, PUIS DES IDÉES TROP PRÉCIPITÉE, DANS LE "COMMENT CA VA RÉAGIR" EN CE QUI CONCERNE SURTOUT LE COBALT, COMME NOUS AVONS DÉJÀ ÉVOQUÉ, AINSI QUE DES TERRE RARES DONT LA LISTE NE SE TERMINE PAS À MON AVIS A 17 ÉLÉMENTS. CAR AU CONGO RDC, C'EST UNE PELLE QUI RAMASSAIT SABLE, POUSSIÈRE, TERRE, CAILLOUX, LE TOUTE CHARGÉS SUR DES CAMION MÉLANGÉS AVEC LES SORTES DE "TERRES RARES INCONNUS », PUIS EMBARQUÉ POUR LA CHINE. |
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La Chine a agit depuit octobre 2019, et testé divers éliminations du Coronavirus-COVID-19. Tous les coronavirus de cet ère industrielle, sont issus de la radioactivité, même si accidentellement, les chinois ont simplement rajouté à leur morphologie des propriétés de certains hôtes du règne animales. Ce qui ne tient nullement debout, parce que, vivant avec une diversité d’autres animaux, aucune transmission ne s’effectue. Mais la radioactivité détruit tous les tissus de humains, animaux, détruit le vivant comme il n'y a qu'elle qui sait le faire, par rapport à d'autres matières non modifiées chimiquement, et jamais forcées à des fusions, éclatement, ou soumit aux contraintes réductrices en des microparticules, ou encore nanoparticules. |
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![]() Ce samedi 04.04.2020, plusieurs scientifiques admettent que Covid-19 : le virus pourrait se transmettre par l'air ambiantAlors que nous avons mis dans notre dossier le déplacement massif par des couches de l’atmosphère, ainsi que l’accumulation du COVID-19, dans des zones prédéfinit, et avec les concentrations fixes, puis les raisons des déplacements secondaires. coronavirus-pourrait-transmettre-par-air-ambiant-4.4.20
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01-Mai-2020 |
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