Le
joint repasse au Parlement lire
l'article
mercredi 24/09/2003 doc.
TSR
.
dossier parent:
Nouveau:organismes_ratages_antidrogue_ados modelisationdrogue_ados_urgences_bafoues.htm--
02/01/2004
civilité
société
../la_verite_sur_lama.htm
../dossiers_mondiaux_guideparents_tox.htm
../propositions_europarl_risques_toxico.htm
les fameuses "études" des nouveaux faiseurs de
l'enfance comme jamais le monde n'a osé le faire !
interview: infos_tox_jeunes_refusparlement
Situation
selon la partie bureaucratique des divers organes européens sur
les drogues. sur site le 29/09/2003
Documents
téléchargeables et pages Htm.
texte_depencannabisparlem_ch
2001
Courriel du 23/07/2004:
Courriel d'un citoyen sur le sujet de drogue des ados. Mis en ligneé aprés avoir écarté maintes
autres écritures
assez
dures, aprés tri de courrier, on est en mesureéde publier ceux qui ont plutét une tendance é la discussion respectueuse des avis de chacun. Sur site reéu le 23/07/2004. Courriel sans frontiére.é
Visionner
les divers médias télévisuelles, ci-dessous
Bulletin
officiel de la séance . 24/09/2003 : http://www.parlament.ch/ab/frameset/f/n/4620/90093/f_n_4620_90093_90094.htm
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Petit
préambule.
par le site: webmaster...lomag-man.org
24/09/2003
Une situation créée entre autre de
maniére artificielle, qui procure é ces "agences
d'étude" mis sur pieds un peu partout en Europe et bureau de suivis de cas diverses
sources d'occupation. Malgré les expériences et savoir
ancestraux, il est é supposer que l'on ne souvient plus
des méfaits de la drogue. Cette situation d'utilisation
d'outils de management lourds et de nombreux
intervenants de milieux scientifiques "corrompus"
met des dizaines d'années é, soit disant étre
opérationnel, sans pour autant avoir des
instruments directs d'aide é la population dans les
situations de vie courantes. Toutes les
personnes dans le besoin, avec un enfant intoxiqué
sont des simples sources d'informations destinées é
leurs dossiers, et divers instances sont ainsi dopées,
friands de
statistiques, é la limite d'un voyeurisme professionnel
obsessionnel, le toute revendus par la suite avec bien
souvent des
indications qui seraient directement utiles pour les victimes
qui ne peuvent en disposer, faute de moyens et méconnaissance
d'institutions.
La plupart des résultats de ces
"études" européennes ne sont pour ainsi dire
pas atteignables, é moins d'étre d'une sphére
privilégiée. On a fait tout arréter, les daelers ne
sont que suivis soit disant pour "pécher le
gros"..., et on se de mande si les livraisons de
drogues se font "en toute invisibilité", nul ne
doit intervenir et pendant ce temps on nous fais savoir
que l'ége de la consommation est de plus en plus bas !
Si je comprends bien, dans les temps passés, on a dé
aussi laisser rentrer des drogues durant des années
pour en comprendre tout le mécanisme commercial et
destructeur chez les enfants ? Sur 2000 mille ans, selon
"leurs statistiques", on aurait méme pas de descendance
sur terre, plutét des zombis.
Aucune forme réelle et efficace
d'aide n'est nullement promulguée en fait. Il est plutét
question de faire des clichés psychosociaux habituels
sur les "gens" et leur faéon misérable de
vivre. Ce qui est en parfait incompatibilité avec la
puissance de pénétration des drogues dans la vie de
tous les jours......Et d'importer des
"études"des models américains sans aucun
fondement intellectuel ! Ou sont donc passé ces
personnes sages qui pourraient étre utiles en des temps
de pareilles perditions.
NUL N'A LE DROIT DE PERMETTRE PAR
QUELQUES ETUDES SCIENTIFIQUES QUE CE SOIT D'AFFIRMER QUE
LES TEMPS SONT A LA CONSOMMATION FACILITE DES DROGUES
PAR LES JEUNES, PAR NOS ENFANTS. C'EST UN FLEAU
VOLONTAIREMENT ACQUIS PAR FANTAISIE DE MILLENAIRE ET QUI
NE REFLETTE EN RIEN LA DESTINEE DES HUMAINS.
Pour tout arranger on formate des
"modéles" scolaires sur les
"capacités" des jeunes fumeurs SELON DES
CRITERES..., sur les méthodes de précaution, ( ces
scientifiques savent qu'un enfants est capable de se
maétriser face é ces genres de substance !!).
On formate les professeurs, on met é
mal les relations parents écoles et on trouve é créer
des "phrases type":LES PARENTS SONT
DEMISSIONNAIRES".
Dans le méme temps
les "accros" peuvent étre virés de l'école
par des articles de lois " d'une autre
époque", du fait qu'ils sont en avance par rapport
é la course d'instauration de nouvelles directives sur
ce qu'on leur offre comme vie de société, mais qui
n'est légales que selon la conduite de l'enfant !!??!! Donc
si j'ai bien compris, on prévoit qu'é dix ans, on lui
fournit le "mulet", la came, et lui il doit
pouvoir se "maétriser, réussir en classe et se
conduire comme un adulte responsable.
De l'autre cété on nous
"guide" en faisant savoir que selon des
"sondages" les intellos, sont pour cette
nouvelle mode de vie, par contre les pauvres manéuvres,
ne comprenant rien aux nouvelles mouvances, ne font pas
avancer le monde ???
é suivre.
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Le
joint repasse au Parlement
source TSR
mercredi 24/09/2003
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En Suisse, plus de 500'000 personnes
consomment du cannabis |
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Les esprits fument sous la coupole fédérale.
Aprés la Chambre des cantons, celle du peuple planche é son
tour sur la légalisation des drogues douces.
De leur cété, parents et enseignants ne cachent pas leur inquiétude
face é léaugmentation de la consommation de cannabis chez les
jeunes.
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Sur
une place publique de Berne, cinq jeunes gens, dont léun en
uniforme de léarmée, tirent é tour de réle sur un joint. éFumer,
éa me détendé, explique le soldat, qui préfére conserver
léanonymat.
On lit éCalandaé sur le badge de sa tenue de camouflage,
remplacé pour léoccasion par une étiquette pliée de la
marque de biére. éComme éa, dit le militaire en permission trés
spéciale, éa méaide quand il y a de la pression.é On le
croit volontiers.
éKiffer, éa se fait en groupeé, ajoute son voisin blond aux
yeux - bleus - rougis. éJe néai jamais eu é en pétir,
assure-t-il, pas comme avec léalcool.é
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Souvent,
la police regarde ailleurs |
Personne,
dans la ronde, néa peur de la répression. éCéest
relativement easy de fumer, si téas pas 15 ans é peine ou que
téas pas la peau noire.é
Céest ainsi quéils décrivent leurs rapports occasionnels
avec la Police municipale. éIl y a justement deux policiers en
civil qui viennent de passer et ils ont fait comme séils ne
nous voyaient pas.é
En Suisse, plus de 500'000 personnes consomment du cannabis
occasionnellement ou réguliérement. Et 87'000 tous les jours.
Céest en tout cas ce quéindique une étude publiée léannée
derniére par léInstitut
suisse de prévention de l'alcoolisme et autres toxicomanies (ISPA).
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Plus
de la moitié ont essayé
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Plus
de la moitié des 15-24 ans admettent avoir essayé. Selon la méme
enquéte de léISPA, léége minimum est descendu autour de 15
ans.
Prés déun jeune adulte sur quatre a déjé fumé, indique
encore léinstitut, dont les spécialistes ne peignent pas pour
autant le diable sur la muraille.
Déune part, ils estiment que le phénoméne est temporaire. De
léautre, ils assurent que les risques encourus par la santé,
en cas de consommation émodéréeé, ne sont pas plus
importants quéavec des substances légales telles que le tabac
ou léalcool.
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Une
nouvelle ligne gratuite
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Pourtant,
parents, enseignants et éducateurs manifestent une inquiétude
croissante. Notamment en sollicitant léISPA de plus en plus
souvent.
Céest déailleurs ce qui a décidé cette derniére de créer,
é la mi-septembre, une ligne téléphonique éInfos parents
cannabisé, qui séajoute aux centres déinformation et de
conseil existants.
Sabine Dobler, qui travaille é la mi-journée pour éInfos-parents-cannabisé,
est surprise par le nombre déappels reéus.
éLa premiére semaine, précise-t-elle, nous avons eu dans les
60 appels, de 20 é 30 minutes chacuné. Preuve que cette
hotline gratuite répond donc é un besoin réel.
éMon enfant consomme du cannabis, quéest-ce que je dois
faire?é Céest la question la plus souvent posée. Les appels
émanent parfois de parents de jeunes de 13 et 14 ans, ajoute
Sabine Dobler. Mais aussi de parents déenfants adultes.
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La
consommation précoce
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éNos
conseils dépendent beaucoup de léége du jeune concerné.é
Une consommation précoce peut poser des problémes é léécole
ou sur le lieu déapprentissage. Céest pourquoi Sabine Dobler
recommande aux parents de séadresser é un service de conseil.
En cas de dépénalisation des drogues douces, le travail des spécialistes
de léISPA, prendrait encore davantage déimportance. Parce
que la loi serait assortie de toute une série de mesures de prévention
et de protection de la jeunesse.
En effet, politiciens, autorités, médecins et spécialistes
soutiennent la décriminalisation de la consommation des drogues
douces. Ils espérent ainsi pouvoir supprimer les aspects les
plus négatifs du marché noir.
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Un
contréle de la qualité
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éUne
libéralisation doit étre assortie déexigences de qualité.
Comme léobligation de déclarer la provenance et le mode de
production du chanvre ainsi que des valeurs limitesé, estime un
collaborateur de éContact-Thouneé, service de conseil du
Groupement bernois d'aide en matiére de dépendance.
Ce spécialiste exige une réglementation des additifs
chimiques, en plus de la mention de la teneur en THC, la
substance active du cannabis. Et cela pour répondre aux spécificités
de la culture déintérieur.
éCe mode de culture recourt é des fongicides, des pesticides
et des engrais parfois trés concentrés, éventuellement nocifsé,
explique le Bernois.
La loi actuelle permet une teneur en THC de 0,3%. Au moyen de
lampes puissantes et de divers produits chimiques, la culture
indoor permet déatteindre jusquéé 20% de THC.
swissinfo
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23.09.2003 15:28 |
sur
site : contact webmaster |
13.01.2006 13:33:41
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